Magali Berdah (TPMP) : « Je n’en peux plus, c’est une torture » 

La chroniqueuse emblématique de TPMP Magali Berdah

Rien ne va plus pour Magali Berdah. Le chroniqueuse de TPMP n’était pas particulièrement aimée dans l’émission. Par exemple, on vous avait dit que ses interventions autour de la table étaient assez puériles. De plus, son image de chroniqueuse experte télé-réalité agaçaient beaucoup. Toutefois, elle ne subissait pas réellement la foudre sur les réseaux sociaux quand elle ouvrait sa bouche. Depuis quelque heures, la jeune femme subit un cyber-harcèlement incroyable instaurée par Booba, un célèbre musicien.

En effet, Booba a dénoncé le fait que Magali Berdah fasse vendre des produits bidons à ses influenceurs à un public relativement jeune. La majorité de ses produits ne fonctionnent pas, viennent du dropshipping ce qui est légal mais parfaitement amoral ou ne sont carrément jamais livré. Au bout du bout, Magali Berdah a fondu en larmes et s’est confiée à cœur ouvert. On revient sur son cri du cœur déchirant.

Magali Berdah pousse un énième coup de gueule 

Il y a quelques jours, la chroniqueuse de TPMP avait décidé de traîner Booba en justice étant donné que le cyberharcèlement est pénalement répréhensible en France. Mais il semblerait que l’homme ne soit pas à quelques millions d’euros près. En effet, le harcèlement contre Magali Berdah continue de plus belle.

Cette situation est extrêmement éprouvante pour la chroniqueuse de TPMP qui n’en peut plus. Les yeux remplis de larmes, et la voix étranglée par la colère, elle dévoile les propos suivants: « J’en peux plus, je veux retrouver ma vie. Il va faire ça jusqu’à la mort, il l’a dit. Ça ne dérange personne ? C’est de la torture, je vais vivre ma vie comme ça jusqu’à quand ? »

La chroniqueuse de TPMP évoque le fait de mettre fin à ces jours

C’est un fait, en France, de nombreuses personnes qui sont harcelées au quotidien finissent par passer l’arme à gauche en mettant fin à leurs jours. Pour essayer de faire réagir les internautes et leurs expliquer que ce qu’ils font est inadmissible Magali Berdah a franchi la ligne rouge en mentionnant cela. Elle explique en effet les propos suivants: « On attend quoi là, que je me jette ? Ou que je me fasse tuer par tous ces dangers qui me menacent de mort depuis deux mois ! »

Toujours très à cran, elle termine son speech sur les réseaux sociaux par les propos suivants: « Si j’avais le moindre truc à me reprocher sur les placements de produits, ça ferait bien longtemps que j’aurais été condamnée ! » Voilà au moins ce qui a le mérite d’être clair mais qui risque de ne pas convaincre Booba.

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